Paradoxe : le réaménagement de la semaine scolaire ajoute une demi-journée de classe mais reconduit à l’identique, voire réduit légèrement, le nombre d’heures consacrées aux apprentissages.
Le GRIP partage l’inquiétude qui s’est exprimée à ce sujet sous diverses formes au sein de la profession. Accompagné d’une territorialisation génératrice d’inégalités, ce réaménagement en trompe l’œil, s’il est appliqué, continuera à fragiliser l’acquisition des savoirs de base. Le GRIP demande au contraire que soit engagée la reconquête indispensable du temps scolaire.
Lire la réaction de Catherine Huby, professeur des écoles, membre du CA du GRIP